Multimédia

Google Pixel 6a, un bon photophone à prix tenu

Dans la foulée du Pixel 6, son porte-étendard unanimement salué pour ses qualités photographiques, Google en propose une version milieu de gamme, le Pixel 6a. Une bonne nouvelle pour tous ceux qui souhaitent s'offrir un bon photophone sans (trop) casser leur tirelire.

Pour le Pixel 6, Google avait tout revu : le design, la puce embarquée qui s'est muée pour l'occasion en production maison et le capteur photo, devenu l'un des plus performants du marché. Cette révolution a convaincu les critiques et séduit les foules, notamment grâce à des performances de haut vol et à une qualité photo indéniable. Comme ce fut le cas pour le Pixel 5, Google décline aujourd'hui son porte-étendard en version milieu de gamme plus abordable. Et bonne nouvelle cette fois, le modèle est disponible en France.

Des arbitrages cohérents

Le design ressemble à s'y méprendre à celui du Pixel 6, mais il ne faut pas se fier aux apparences. C'est dans les détails que tout se joue. Le format du téléphone lui-même est différent, plus petit de 6,5 mm en hauteur et de 3 mm en largeur. Même si l'on y perd un peu en surface d'écran, la tenue en main s'en trouve améliorer. Ceux qui préfèrent les petits téléphones, comme l'Apple SE, seront satisfaits. Le Pixel 6a est aussi beaucoup plus léger : 178 g contre 207 g pour son illustre prédécesseur. Ce tour de passe-passe a été rendu possible par le recours au plastique à l'arrière, en lieu et place du verre. Au rayon des compromis, on retrouve aussi le remplacement du Gorilla Glass Victus, le verre le plus résistant de Gorilla, par la version 3. L'excellent écran Oled, aussi bien défini que sur le Pixel 6 (429 pp) recouvre 82,6 % de la façade, ce qui est un score moyen, les bordures autour étant un peu trop visibles. À l'arrière, le 6a fait toutefois mieux : Google a redessiné le capteur photo qui est ici nettement moins protubérant. Le nouveau venu dispose d'un capteur d'empreintes digitales sous l'écran, mais est dépourvu de port microSD et de prise jack. La connectique s'articule autour de l'USB-C, du Bluetooth 5.2 et du Wifi. On salue la certification IP67, rare à ce niveau de prix, qui assure une étanchéité à la poussière et une résistance à l'immersion à moins d'un mètre durant 30 minutes. Sous le capot, on retrouve la puce maison Tensor, la même que sur les modèles haut de gamme. Les performances demeurent donc de haut niveau, surtout pour un téléphone à ce prix. Côté photo, Google fait légèrement évoluer sa solution technique mais le résultat est le même : de jour comme de nuit, le Pixel 6a est de loin le meilleur photophone de sa catégorie. Vendu 450 €, le Pixel 6a tient ainsi toutes ses promesses.

Multimédia

Shinobi : Art of Vengeance, le poids de la légende

Quatorze ans après avoir marqué durablement les esprits avec son action frénétique, Shinobi revient sur le devant de la scène vidéoludique, orchestré cette fois par Lizardcube et SEGA. Le titre, tout en s'inscrivant dans la lignée...
Lire la suite
Shinobi : Art of Vengeance, le poids de la légende
Multimédia

Immersion totale, la DJI Osmo 360 voit tout

Avec l'Osmo 360, DJI, connu pour ses drones, signe son entrée dans le monde des caméras immersives et défie les ténors du secteur avec un modèle polyvalent, ambitieux et résolument haut de gamme.
Lire la suite
Immersion totale, la DJI Osmo 360 voit tout
Multimédia

L'ONU monte au front contre les dérives technologiques de l'intelligence artific...

Deepfakes, algorithmes manipulateurs, surveillance de masse : face à l'accélération incontrôlée de l'IA, l'Organisation des Nations unies se dote pour la première fois d'un groupe d'experts scientifiques sur le modèle du Giec. Une...
Lire la suite
L'ONU monte au front contre les dérives technologiques de l'intelligence artificielle