Aux grands maux les grands remèdes

Le jardinier n'est pas homme à garder longtemps les mains propres. Peu soucieux de porter des gants, il se salit joyeusement les doigts dans la terre. Les jardinières ne reviennent pas moins des plates-bandes les mains propres, comme auraient dit les existentialistes. Ne parlons pas du jardinier-mécano qui met ses mains dans le cambouis crasseux de la tondeuse ou de la tronçonneuse. À toutes ces pognes salies, ces mains vertes souillées, il faut un produit nettoyant à la hauteur de leur malpropreté. Une crème lavante à base de microbilles minérales, sans solvant pétrolier, est parfaite. C'est le gel nettoyant des garagistes, dont l'efficacité abrasive n'est plus à démontrer. Formulé avec des tensioactifs lavants faiblement "détergents" pour ne pas dégraisser profondément la peau.